Dorioù digor / Portes ouvertes

Vendredi 1er juin /d’ar gwener 1 añ a viz Even

13h30 – 18h

Samedi 2 juin / d’ar sadorn 2 a viz Even

9h30 – 12h

Venez découvrir Diwan, le bilinguisme breton-français, l’enseignement en immersion…

Venez visiter les locaux, rencontrer l’équipe pédagogique, échanger avec des familles d’enfants déjà scolarisés à l’école.

Deuit da zizoleiñ Diwan, an divyezhegezh brezhoneg-galleg, ar c’helenn dre soubidigezh…

Deuit da weladenniñ al lec’h, kejañ ouzh ar skipailh pedagogel, eskemm gant familhoù bugale skoliataet er skol dija.

Gouel ar gouloù e Kerango / La chandeleur à Kérangoff

Vendredi dernier, les petites et moyennes section de l’école Diwan de Kérangoff (photo) ont fêté la Chandeleur. Après avoir fait les crêpes en classe, un goûter a été organisé. Les portes ouvertes des deux sites de l’école Diwan de Brest (63 bis, rue Georges-Melou au Guelmeur, et 71, rue Béranger à Kérangoff), ce vendredi, de 13 h 30 à 18 h, et ce samedi, de 9 h 30 à 12 h. Contact : Diwan Kerangoff, ; Diwan Guelmeur,
© Le Télégramme

Dorioù digor / Portes ouvertes

Vendredi 9 février /d’ar gwener 9 a viz C’hwevrer

13h30 – 18h

Samedi 10 février / d’ar sadorn 10 a viz C’hwevrer

9h30 – 12h

Venez découvrir Diwan, le bilinguisme breton-français, l’enseignement en immersion…

Venez visiter les locaux, rencontrer l’équipe pédagogique, échanger avec des familles d’enfants déjà scolarisés à l’école.

Deuit da zizoleiñ Diwan, an divyezhegezh brezhoneg-galleg, ar c’helenn dre soubidigezh…

Deuit da weladenniñ al lec’h, kejañ ouzh ar skipailh pedagogel, eskemm gant familhoù bugale skoliataet er skol dija.

Stajidi Kelenn er skol / Des stagiaires de Kelenn à l’école

L’école Diwan de Kérangoff accueille actuellement Tifenn Merien et Pablo Lavrand, deux stagiaires de Kelenn, du centre de formation pédagogique des écoles Diwan. Pendant dix jours, les futurs enseignants vont observer le fonctionnement d’une classe de petite section et la pratique du breton en immersion. Ils vont découvrir la façon dont les jeunes enfants s’approprient très tôt la langue, et leur proposer plusieurs séquences d’apprentissages, qu’ils ont préparées au centre de formation. Ils ont commencé par une séance autour d’un conte, présenté sous la forme d’un petit spectacle de marionnettes, très apprécié des enfants.
© Le Télégramme

Ar re vihan er Gapusined / Les petits aux Capucins

La classe des petits de l’école Diwan de Kérangoff s’est rendue à la médiathèque des Capucins vendredi. Les enfants ont été accueillis par Camille Cousin, l’un des animateurs bretonnants de la médiathèque. Il leur a proposé plusieurs histoires et comptines en breton, puis les élèves ont profité du coin lecture dédié aux jeunes enfants. Ils ont chacun pu choisir un livre et retourner, ravis, vers leur école, en empruntant le téléphérique, le tram et le bus. Toute une aventure ! Le Télégramme du 22/11/17

Les écoles Diwan, qui proposent un enseignement bilingue breton-français, fêtent cette année leurs 40 ans. Pourtant, l’avenir de la langue bretonne semble, lui, toujours menacé.

Avec 97,3 % de réussite au bac général en 2017, contre 90,7 % dans l’Hexagone, Diwan (« germer », NDLR), le réseau d’écoles associatives, affiche un joli palmarès, 40 ans après sa création. Fondé sur un enseignement « immersif », son projet pédagogique n’introduit le français dans l’enseignement qu’à partir du CE1. Non sans succès. « Diwan se porte bien sur le plan des résultats et, ce qui est plus important, de la capacité à accompagner les élèves jusqu’au bac », se félicite Anna-Vari Chapalain, directrice du réseau.

« Locomotive linguistique »

Avec 4.318 élèves dans 47 écoles, six collèges et un lycée, et des effectifs en constante progression (+ 17 % en cinq ans), Diwan s’agrandit d’une nouvelle école chaque année et prévoit d’ouvrir un second lycée. Selon Lena Louarn, vice-présidente du conseil régional de Bretagne chargée des langues, Diwan, depuis sa création en 1977, a joué un rôle de « locomotive dans la réappropriation de la langue ». « Partenaires » des établissements, les parents plébiscitent aussi la liberté pédagogique des écoles, qui offrent une large place aux pédagogies alternatives. Quant à ceux qui jugent artificiel l’apprentissage du breton pour les non-bretonnants, la présidente de Diwan, Stéphanie Stoll, répond : « Une langue ne se réduit pas à son utilité économique, tout ce qu’on vit avec une langue relève de l’émotion ». Aujourd’hui, les écoles Diwan ne représentent qu’environ 2 % des élèves des cinq départements de la Bretagne historique, si l’on inclut les classes bretonnantes du public et du privé catholique. Avec 180.000 locuteurs estimés, selon l’Office public de la langue bretonne (OPLB), contre 1,3 million au début du XXe siècle, le breton reste menacé : « Nous perdons 5.000 à 6.000 locuteurs chaque année tandis qu’environ un millier sont formés », rappelle Meriadeg Vallerie, de l’OPLB.

Crise de croissance

Le réseau associatif est, par ailleurs, confronté à une crise de croissance. Porté depuis l’origine par l’énergie de ses membres, notamment bénévoles, il peine à recruter des enseignants bilingues. Le budget s’élève à 4,7 millions d’euros mais repose à 53 % sur l’autofinancement, essentiellement par dons, le reste provenant de subventions. « Il est difficile avec un statut associatif et peu de moyens de remplir notre mission de service public, juge Anna-Vari Chapalain. Même gratuite, une école a un coût. Il en faut des crêpes pour trouver des financements ! ». De plus, la loi n’impose pas aux communes de résidence de verser à Diwan le forfait scolaire, une obligation pour le public, alors que les recettes permettraient de financer les postes périscolaires. Or, Diwan emploie 150 contrats aidés que l’État a accepté de financer jusqu’en juillet 2018. Aussi, le député morbihannais Paul Molac (LREM), entend déposer une proposition de loi pour garantir un meilleur statut aux écoles associatives laïques et gratuites de langue régionale.
© Le Télégramme

Kérangoff : accueil des nouvelles familles / Degemer ar familhoù nevez

Vendredi 6 octobre, l’Association des parents d’élèves et l’équipe pédagogique de l’école Diwan ont accueilli les nouvelles familles autour d’un goûter. Lors de ce temps d’échanges, les différents acteurs de l’école ont présenté les structures permettant à l’établissement de fonctionner : l’Association d’éducation populaire, en charge de la gestion ; le Comité de soutien, en charge des événements ; ainsi que l’association Randorade, qui organise une grande randonnée, le dimanche de Pentecôte, dans un site autour de la rade. Chaque parent présent a pu discuter avec les membres de l’équipe pédagogique et avec des parents déjà impliqués dans ces différentes structures, et ainsi découvrir le fonctionnement d’une école associative.
© Le Télégramme 13/10/2017

Un distro leun a livioù / Une rentrée haute en couleurs

Les 126 élèves de l’école Diwan de Kérangoff ont retrouvé leur établissements égayé par une fresque réalisée par les classes de maternelle et de CP avec l’artiste Kathy Diascorn fin juin dernier. Kathy Diascorn et les enseignantes ont apporté la touche finale à la fresque pendant les vacances, et c’est donc à la rentrée que les élèves ont découvert le projet entièrement terminé. La fresque sera inaugurée officiellement à l’occasion des 40 ans de l’école qui seront célébrés cette année.

Gwelladenn er mediaoueg / Visite à la médiathèque des Capucins

Les deux sites de l’école Diwan de Brest, celui de Kérangoff et du Guelmeur, organisent des portes ouvertes le vendredi 19 mai, de 13 h 30 à 18 h, et le samedi 20 mai, de 9 h 30 à 12 h. En attendant, les petites et les moyennes sections de Kérangoff sont allées visiter la médiathèque des Capucins, vendredi 28 avril. Après avoir emprunté le bus et le tram, les élèves sont montés dans le téléphérique pour se rendre au plateau des Capucins. Accueillis par Klervi Abalain, les élèves ont eu droit à une visite des lieux commentée en breton. Ils ont pu repartir vers l’école avec le livre de leur choix.
(article télégramme)
 Un immense merci à Erwan pour le thème du site -> wave.bzh Lokorn